Site officiel : 
"Rien n'est remis en cause"
« Malgré cette quatrième défaite de la saison, les Sang et Or n'auront pas démérité, manquant de peu d'empocher le point qu'ils étaient venus chercher en Aquitaine. Rien n'est remis en cause.»
"Il n'y a pas péril en la demeure"
« Paradoxalement, au stade Chaban-Delmas, les protégés de Joël Muller auront livré l'un de leurs meilleurs matchs de la saison avec les qualités de sérieux et d'abnégation qu'on leur connaît. Il aura donc fallu que Pauleta, véritablement muselé durant une grande partie de la rencontre, ne pousse à la faute, en l'accrochant, Valérien Ismaël»

Chez l'adversaire

Girondins.com : "Tout au bout du suspens"
"L'opposition de style est totale en début de match entre le 4-4-2 bordelais et 5-4-1 très évolutif des lensois. La disposition tactique des hommes de Joël Müller se transforme très vite de 3-4-3 dans les phases offensives. (...) Malgré la multiplication des fautes, le match est haletant et agréable à suivre. Les deux équipes jouent à visage découvert et ne dissimulent pas leurs envies d'attaquer. (...) Les dernières minutes promettent d'être totalement folles et débridées. Malgré ce final épique, quelques spectateurs s'échappent des travées pour éviter les embouteillages ! Incroyable alors que le spectacle est au rendez-vous."

LaVoixdesSports.com : "Lens : gaspillage, défaite cruelle"
"Cette quatrième défaite de la saison, qui maintient un peu le suspense de la fin de championnat, est certainement la plus cruelle, car elle a sanctionné un match que les « Sang et Or » ont dominé quasiment de bout en bout sans parvenir à prendre l'avantage. Le but sera toujours la vertu majeure du foot. Cruelle vérité, hier soir !"

La Voix du Nord :
"Le Patron c'est toujours Lens"
"Car Guillaume Warmuz et ses équipiers ont assurément joué un de leurs meilleurs matchs de la saison. C'est également à Bordeaux que les Lensois avaient réussi leur plus belle démonstration de l'ère Courbis. Pour n'en tirer que le maigre bénéfice d'un match nul. Avant-hier soir, ce fut pire encore puisque c'est une défaite qui fut au bout d'une rencontre quasiment maîtrisée de bout en bout."
"Lens avait une balle de break dans le troisième set"
"Un petit stage et un grand bol d'air au Touquet, le droit de se changer les idées, un maximum de repos et les « Sang et Or » étaient de nouveau d'aplomb au changement de service. Dimanche, ils ont donc repris les bonnes vieilles habitudes. Attaque main ferme et le feu sous les pieds. Une envie énorme de bien faire. Trop énorme peut-être. Du jeu, parfois même du beau jeu. Mais à jouer sur les lignes, ça passe ou ça casse. Certains soirs, toutes les balles rentreront dans le court, d'autres fois elles flirteront juste avec le coup de génie. Pour finalement sortir de peu."

Sud-Ouest : "Maté, le leader !"
"Quant aux Lensois, cette quatrième défaite de la saison, seulement, ne remet pas en cause leur position de leader et surtout leurs ambitions de conquérir le titre. Entre un leader, sûr de sa force, de son organisation et de son avance comptable de six unités sur son dauphin et un candidat à l'Europe, condamné à vaincre pour le rester mais limité dans son expression offensive, il fallait s'attendre à un acte initial bridé, pour ne pas dire cadenassé. Pour autant, on ne s'est jamais ennuyé une seconde même si les occasions se comptent sur les doigts d'une seule main. Car les deux équipes ont mis beaucoup d'intensité, de rythme et d'engagement dans cette partie."

Le Parisien : "Le leader fait du surplace"
"GALVANISÉ par la défaite de Lyon la veille, Lens est venu en Gironde avec des ambitions. Mais Bordeaux, motivé par une place européenne, devait également gagner. (...) Ces deux volontés ont accouché d'un match rythmé et d'un vainqueur qui s'est dessiné en seconde période : Bordeaux, qui se replace ainsi dans la course à la Ligue des champions. Les Lensois, eux, devront encore patienter dans leur marche en avant vers le titre"

Le Monde : "A Bordeaux, Lens a oublié de gagner"
"Les Sang et Or, dominateurs durant 90 minutes, ont impressionné. Jusqu'à leurs adversaires. "C'est une bien belle équipe", concédait ainsi le défenseur Kodjo Afanou. "Lens est vraiment une grosse machine et nous nous sommes faits de nombreuses frayeurs", reconnaissait le gardien de but bordelais, l'international Ulrich Ramé."

Les portails d'info.

Yahoo/AFP :
"Bordeaux fait tomber Lens"
"Bordeaux a souffert dimanche au Stade Chaban-Delmas pour venir à bout du leader Lens, battu 2 buts à 1, à l'occasion du dernier match de la 29e journée du championnat de France de football (D1), qui s'est décanté après l'heure de jeu."
"Lens ne profite pas du faux pas Lyonnais"
"Pour autant, les Sang et Or possèdent toujours six points d'avance sur leur dauphin, qui voit ses espoirs de titre s'amenuiser et craint même pour sa deuxième place synonyme de qualification directe pour la Ligue des champions."
"Le paradoxe Lensois"
"Le leader lensois, bien que battu à Bordeaux 2-1, dimanche, à l'occasion de la dernière rencontre de la 29e journée du championnat de France, a réalisé l'un de ses matches les plus accomplis depuis le début de la saison."

Yahoo/Reuters : "Bordeaux bloque Lens"
"A cinq matches de la fin, les Lensois auraient pu engranger un avantage de neuf points. Ils restent avec six points d'avance, peut-être parce qu'ils ont fait le déplacement en "patrons" venus chercher le point d'un match nul."

Les sites sportifs généralistes

Les sites Lensois

Lens62.fr.st :
"La manière était là mais le résultat n'y est pas"
"La belle prestation des hommes de Joel Muller face aux hommes D'Elie Baup n'a pas suffit."

Autres...

Lnf.fr : "Bordeaux fait douter Lens"
"La défaite du leader en Gironde n'assure plus aux Nordistes de boucler sereinement la fin de leur saison. Les Girondins, désormais sixièmes, sont bien partis pour accrocher la quatrième place qualificative pour la prochaine Coupe de l'UEFA."

Canalplus.fr : "Bordeaux se re-Lens"
"La fin de match est folle, mais ce sont bel et bien les hommes du cru qui s'imposent, dans la douleur mais heureux. Lens conserve ses six points d'avance sur Lyon et " ne s'alarme pas " comme le souligne Sibierski."